Accueil Bien-être Boire du thé avant de dormir : bonne ou mauvaise idée ?

5 mins.

26 juillet 2022

Boire du thé avant de dormir : bonne ou mauvaise idée ?

Adepte de thé, vous en consommez tout au long de la journée ? Vous savourez avec plaisir cette boisson préparée à partir de feuilles infusées, généralement consommée au petit déjeuner. Mais peut-on boire du thé avant de dormir, sans incidence pour notre sommeil ? Existe-t-il des types de thé moins impactants pour notre endormissement ? On vous dit tout dans cet article !

Quels sont les effets du thé sur le sommeil ?

C’est la présence de la théine qui fait du thé une boisson stimulante. Et pour cause, la théine n’est autre que la même molécule que la caféine !

Consommé en fin de journée, le thé peut donc provoquer des troubles du sommeil, comme l’insomnie. Pourquoi ? Il a tendance à :

  • activer le système nerveux ;
  • stimuler la concentration et la vigilance.

La théine, libérée au contact de l’eau chaude, a cependant des effets moins rapides et moins durables que la caféine en raison de la présence de tanins.

Bon à savoir :

La théine, comme la caféine, n’a pas le même effet sur tous les organismes. C’est pourquoi, certaines personnes peuvent très bien consommer du thé le soir et s’endormir sans difficultés.

Quel thé choisir pour bien dormir ?

Si vous êtes vraiment trop addict au thé pour limiter votre consommation en fin de journée, sachez qu’il existe des types de thé moins stimulants que les autres.

Le thé blanc

Boire du thé blanc est recommandé aux personnes particulièrement sensibles aux effets de la théine. Ce breuvage contient un pourcentage de théine moins élevé que les autres thés. L’impact sur votre sommeil sera moindre.

Le thé rouge

Le thé rouge, aussi appelé “rooibos”, ne contient pas de théine. L’arbuste dont il est issu appartient en réalité à la famille des légumineuses. À consommer sans crainte de trouble du sommeil !

Le thé vert

La théine présente dans le thé vert lui confère un indéniable effet excitant. Pourtant, il est possible de boire du thé vert avant de dormir sans trop d’incidence sur la qualité du sommeil. À condition de le “déthéiner” !

Préparation d’un thé vert allégé en théine

  • laisser infuser le thé vert pendant une minute dans une eau frémissante ;
  • jeter cette eau : elle contient la plupart des molécules de théine ;
  • plonger le même sachet/la même boule à thé dans une nouvelle eau frémissante ;
  • Puis dégustez !

La tisane

Non seulement la tisane n’a pas de propriétés excitantes, mais elle peut même vous aider à vaincre l’insomnie.

Notre conseil :

Faites le choix d’une tisane composée de :

  • camomille,
  • mélisse,
  • ou encore de valériane.

Le thé a tout de même des bienfaits pour la santé !

Voici quelques vertus associées au thé :

  • aider à garder la ligne (vertus drainantes) ;
  • favoriser la lutte contre le vieillissement cellulaire (antioxydants naturels) ;
  • améliorer l’humeur (caféine et L-théanine) ;
  • prévenir les maladies cardiovasculaires (catéchine) ;
  • réduire le déclin cognitif chez les personnes âgées (antioxydants naturels) ;
  • ou encore diminuer la pression artérielle et le taux de cholestérol (flavonoïdes).

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Quelles sont les meilleures positions pour bien dormir ?

Nous passons en moyenne un tiers de notre vie à dormir, soit entre 25 et 27 ans… Outre l’orientation du lit, la position que nous adoptons en dormant a un impact significatif sur notre santé : si elle n’est pas adaptée, elle peut générer des problèmes (torticolis, douleurs dorsales, apnée du sommeil, etc.) ou aggraver des pathologies existantes. Nous avons tous nos habitudes de sommeil, mais sont-elles réellement les plus adéquates ? Quelle est la meilleure position au lit – s’il y en a une – pour passer une bonne nuit ? Voyons ensemble comment s’assurer un sommeil réparateur dans une posture respectueuse du corps.

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Ronchopathie : définition, causes et traitements

La ronchopathie désigne le fait de ronfler dans son sommeil. Cette pathologie est aussi gênante pour le dormeur que pour son conjoint et son entourage. En effet, les ronflements pendant la nuit gênent généralement la personne partageant la chambre du ronfleur, mais également les enfants dormant dans les chambres attenantes. La ronchopathie est une pathologie qui touche aussi bien les hommes que les femmes, à tout âge. Quelles sont les causes de ces ronflements nocturnes ? Comment traiter une ronchopathie ? Explications et conseils pour limiter ces troubles du sommeil. À retenir * Il existe quatre types de ronchopathie, classées selon le niveau sonore et la fréquence des ronflements. * Les ronchopathies sévères et chroniques sont des pathologies qui peuvent entraîner des conséquences importantes sur la santé du dormeur, de la simple fatigue diurne aux maladies cardiovasculaires (en cas d’apnée du sommeil notamment). * Plusieurs facteurs peuvent entraîner des ronflements : surpoids, consommation d’alcool, congestion nasale, perte de tonus musculaire… * Des solutions sont possibles pour limiter les ronflements. Consultez un médecin pour obtenir un traitement adapté et choisissez une position de sommeil qui n’obstrue pas les voies respiratoires.

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Quelques conseils pour bien dormir et les bénéfices du sommeil

Instaurer une hygiène de sommeil saine est indispensable : que ce soit vis-à-vis de votre environnement de sommeil, comme du comportement que vous adoptez avant de vous mettre au lit. Par exemple, le choix de votre matelas et de votre oreiller est primordial. Plusieurs études ont montré que les utilisateurs d’oreillers de type régulier (forme ovale ou rectangulaire) dorment moins bien que ceux utilisant des oreillers de type fonctionnel. Les oreillers à plumes ne sont pas non plus conseillés. Sur votre matelas, vos épines et disques intervertébraux doivent être équilibrés. Un matelas se change tous les 5 à 8 ans.

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Sommeil et rêves : un couple agité

Tout le monde rêve. Toutes les nuits, et même plusieurs fois par nuit, pendant le sommeil lent profond comme pendant le sommeil paradoxal. Certains d’entre nous sont des gros rêveurs (5 rêves par semaine), et d’autres, des petits rêveurs (deux rêves par mois). La vraie différence entre les uns et les autres ? Les premiers se réveillent en moyenne deux fois plus souvent que les seconds ! – d’où, peut-être, une meilleure mémorisation du fait d’une plus grande activité d’une zone particulière du cerveau, le cortex préfrontal.

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